Une femme africaine doit rester naturelle, avec ses cheveux crépus. C’est, en tout cas, le message que fait passer la photographe et graphiste libano-togolaise, Mounia Youssef.

À Grand-Popo, au Bénin, elle  présente son travail, à travers une exposition au centre culturelle de la commune. Selon Mounia Youssef,  porter le cheveu crépu sans se soucier des standards occidentaux est une manière de revendiquer son identité de femme africaine.Elle l’exprime si bien à travers des photographies qui montrent des femmes avec le fameux peigne dans le cheveux.

Charles AYI